"Répétitions"
#ÉcrivainsFrançais
Suis-je autre chose que ta force ? Ta force dans tes bras, Ta tête dans tes bras, Ta force dans le ciel décomposé, Ta tête lamentable,
Pour l’éclat du jour des bonheurs… Pour vivre aisément des goûts des… Pour se régaler des amours pour ri… Pour ouvrir les yeux au dernier in… Elle a toutes les complaisances.
Main dominée par le cœur Cœur dominé par le lion Lion dominé par l’oiseau L’oiseau qu’efface un nuage Le lion que le désert grise
À haute voix L’amour agile se leva Avec de si brillants éclats Que dans son grenier le cerveau Eut peur de tout avouer.
Loin, le soleil aiguise sur les pierres sa hâte d’en finir. L’art d’aimer, l’art libéeral, l’art de bien mourir, l’art de penser, l’art incohérent, l’art de fumer, l’art de jouir, l’art...
Il dissipe le jour, Il montre aux hommes les images dé… Il enlève aux hommes la possibilit… Il est dur comme la pierre, La pierre informe,
Le désespoir n’a pas d’ailes, L’amour non plus, Pas de visage, Ne parlent pas, Je ne bouge pas,
Je te regarde et le soleil grandit Il va bientôt couvrir notre journé… Éveille-toi cœur et couleur en têt… Pour dissiper les malheurs de la n… Je te regarde tout est nu
C’est un restaurant comme les autres. Faut-il croire que je ne ressemble à personne ? Une grande femme, à côté de moi, bat des œufs avec ses doigts. Un voyageur pose ses vêtements sur u...
Cheval seul, cheval perdu, Malade de la pluie, vibrant d’inse… Cheval seul, vieux cheval. Aux fêtes du galop, Son élan serait vers la terre,
Une brise de danses Par une route sans fin Les pas des feuilles plus rapides Les nuages cachent ton ombre. La bouche au feu d’hermine
Larmes des yeux, les malheurs des… Malheurs sans intérêt et larmes sa… Il ne demande rien, il n’est pas i… Il est triste en prison et triste… Il fait un triste temps, il fait u…
Ramassez sous les chênes les tache… suivez en barque les troupeaux des… contemplez avec des cailloux dans… divisez en dansant le claquement d… voyez les femmes, à quarante ans,…
La bonne neige le ciel noir Les branches mortes la détresse De la forêt pleine de pièges Honte à la bête pourchassée La fuite en flèche dans le cœur
Nos yeux se renvoient la lumière Et la lumière le silence À ne plus se reconnaître À survivre à l’absence.