Bouquets et prières (1843)
#ÉcrivainsFrançais
Ô délire d’une heure auprès de lui… Reste dans ma pensée ! Par toi tout le bonheur que m’offr… Est dans mon souvenir. Je ne m’expose plus à le voir, à l…
Je ne dis rien de toi, toi, la plu… Toi, la plus douloureuse, et non l… Toi, rentrée en mon sein ! je ne d… Qui soufres, qui te plains, et qui… Le sais-tu maintenant, ô jalouse a…
Ah ! que le monde est difficile ! Hélas ! il n’est pas fait pour moi… Ma sœur, en ton obscur asile, J’étais plus heureuse avec toi. On m’appelle ici l’étrangère ;
Dieu ! créez à sa vie un objet ple… Une voix qui réponde aux secrets d… Donnez-lui du bonheur, Dieu ! don… Du bonheur de le voir j’ai pleuré… J’ai pleuré : mais ma voix se tait…
Ce fut un jour pareil à ce beau jo… Que, pour tout perdre, incendiait… C’était un jour de charité divine Où dans l’air bleu l’éternité chem… Où dérobée à son poids étouffant
Toi qui m’as tout repris jusqu’au… Tu m’as laissé pourtant l’aliment… L’amour ! Et ma mémoire où se nou… Je lui dois le passé ; c’est presq… C’est là que tu m’entends, c’est l…
Une jeune et blanche novice, À l’ombre des bosquets cloîtrés Rêvant à son pur sacrifice, Promenait ses vœux timorés ; Et sur des agnus consacrés
De Thalie, Plus jolie, Quand Mars enchante les jeux, Cette Muse Qui s’amuse
Adieu pour toujours, Mes amours ; Ne pleure pas, Tes pleurs ont trop d’appas ! Presse encor ma main ;
Les rumeurs du jardin disent qu’il… Tout tressaille, averti de la proc… Et toi qui ne lis plus, sur ton li… Plaints-tu l’absent aimé qui ne po… Là-bas, plaint son aile et mouillé…
Quand je me sens mourir du poids d… Quand sur moi tout mon sort assemb… D’un courage inutile affranchie et… Je me sauve avec toi dans le fond… Tu grondes ma tristesse, et, trist…
Je ne sais plus d’où naissait ma c… Il a parlé... ses torts sont dispa… Ses yeux priaient, sa bouche voula… Où fuyais-tu, ma timide colère ? Je ne sais plus.
Pardonnez-moi, Seigneur, mon visa… Vous qui l’aviez formé de sourire… Mais sous le front joyeux vous avi… Et de vos dons, Seigneur, ce don… C’est le mois envié, c’est le meil…
Il est deux Amitiés comme il est… L’une ressemble à l’imprudence ; Faite pour l’âge heureux dont elle… C’est une enfant qui rit toujours. Bruyante, naïve, légère,
Viens, mon cher Olivier, j’ai deu… Ma mère l’a permis ; ils te rendro… Eh bien ! je n’ose plus. Mais, di… Ma mère l’a permis, regarde dans m… Voilà mes yeux baissés. Dieu ! qu…