Poésies posthumes (1888)
#ÉcrivainsFrançais
Jamais, avez-vous dit, tandis qu’a… Résonnait de Schubert la plaintiv… Jamais, avez-vous dit, tandis que,… Brillait de vos grands yeux l’azur… Jamais, répétiez-vous, pâle et d’u…
Le poète Le mal dont j’ai souffert s’est en… Je n’en puis comparer le lointain… Qu’à ces brouillards légers que l’… Et qu’avec la rosée on voit s’évan…
Quand la lune blanche S’accroche à la branche Pour voir Si quelque feu rouge Dans l’horizon bouge
Quand je t’aimais, pour toi j’aura… Mais c’est toi, de t’aimer, toi qu… À tes pièges d’un jour on ne me pr… Tes ris sont maintenant et tes ple… Ainsi, lorsqu’à l’enfant la vieill…
À Madame ***. Il est donc vrai, vous vous plaign… Vous dont l’oeil noir, gai comme u… Du monde entier pourrait chasser l… Combien donc pesait le souci
(Au bas d’un portrait.) J’ai vu ton sourire et tes larmes, J’ai vu ton cœur triste et joyeux… Qui des deux a le plus de charmes… Dis-moi ce que j’aime le mieux :
Sonnet. Ô Rhin, sais-tu pourquoi les amant… Abandonnant leur âme aux tendres r… Par tes bois verdoyants, par tes l… S’en vont par leur folie incessamm…
J’ai dit à mon cœur, à mon faible… N’est-ce point assez d’aimer sa ma… Et ne vois-tu pas que changer sans… C’est perdre en désirs le temps du… Il m’a répondu : Ce n’est point a…
Va dire, Amour, ce qui cause ma p… A mon seigneur, que je m’en vais m… Et, par pitié, venant me secourir, Qu’il m’eût rendu la Mort moins i… A deux genoux je demande merci.
Sonnet. Que j’aime le premier frisson d’hi… Sous le pied du chasseur, refusant… Quand vient la pie aux champs que… Au fond du vieux château s’éveille…
Adieu ! je crois qu’en cette vie Je ne te reverrai jamais. Dieu passe, il t’appelle et m’oubl… En te perdant je sens que je t’aim… Pas de pleurs, pas de plainte vain…
Imitation. Horace. Du temps où tu m’aimais, Lydie, De ses bras nul autre que moi N’entourait ta gorge arrondie ;
Te voilà revenu, dans mes nuits ét… Bel ange aux yeux d’azur, aux paup… Amour, mon bien suprême, et que j’… J’ai cru, pendant trois ans, te va… Et toi, les yeux en pleurs, avec t…
Bonjour, Suzon, ma fleur des bois… Es-tu toujours la plus jolie ? Je reviens, tel que tu me vois, D’un grand voyage en Italie. Du paradis j’ai fait le tour ;
Si vous croyez que je vais dire Qui j’ose aimer, Je ne saurais, pour un empire, Vous la nommer. Nous allons chanter à la ronde,